« Un adulte qui contracte volontairement un mariage au nom d’un enfant, qui pousse un enfant à contracter un mariage, qui aide, encourage ou participe à la célébration de toute forme de mariage d’un enfant commet une infraction et est passible d’emprisonnement n’excédant pas vingt ans »
En décembre, le Parlement gambien rendait illégale l’excision. Aujourd’hui, c’est au tour du mariage des mineur-es.