25 février 2021 – Des fillettes du primaire accros aux réseaux sociaux avec des problèmes d’anorexie, des élèves de 5e et de 6e année qui font de fausses menaces de suicide pour attirer l’attention, des chicanes qui dégénèrent sur la plateforme de télé-enseignement de l’école: s’ils existaient depuis un certain temps, les cyber-incidents et la détresse psychologique chez les enfants ont été exacerbés par la pandémie.
En Montérégie, des écoles ont indiqué au Devoir qu’elles devaient faire face à un plus grand nombre de problèmes liés à l’exposition aux écrans et à la technologie. Depuis le début de la crise, elles disent devoir composer de plus en plus avec des cas de menaces, d’attaques à la réputation, de diffamation, et ce, dès le primaire. Plusieurs incidents seraient survenus dans la période des Fêtes, où tous les élèves, même ceux du primaire, étaient en télé-enseignement.