Entrevue avec Cécile Rousseau : «Le fait d’être surveillés sans arrêt, de ne pas pouvoir aller dehors, de ne pas avoir accès à l’école, de ne pas avoir de jeux [donnait vraiment aux enfants] une impression d’étouffement. Dans leurs histoires, ils nous racontaient comment ils voulaient soit se sauver, soit s’échapper, et ils vivaient beaucoup de peur. »
Des enfants réfugiés traumatisés par leur détention au Canada
23 septembre 2016